OWNI http://owni.fr News, Augmented Tue, 17 Sep 2013 12:04:49 +0000 http://wordpress.org/?v=2.9.2 fr hourly 1 11 sept. chaud les marronniers http://owni.fr/2011/09/13/11-sept-chaud-les-marronniers/ http://owni.fr/2011/09/13/11-sept-chaud-les-marronniers/#comments Tue, 13 Sep 2011 15:24:49 +0000 Paule d'Atha http://owni.fr/?p=79097 En 10 ans, l’anniversaire des attentats du 11 septembre 2001 est devenu le plus gros des marronniers dans la plupart des rédactions. Difficile de faire l’impasse sur le sujet, le web n’a pas failli à la règle et certains médias, que l’on a connus plus inventifs, s’y sont cassé les dents.

C’est le cas de l’agence Reuters, par exemple, qui sort une série d’infographies pompeusement appelées “interactives” – on y cherche toujours les interactions – ou encore du Guardian, qui produit une cartographie, assortie d’une frise chronologique, pour marquer les périodes de “succès” puis de décadence d’Al Qaïda, dans une forme assez pauvre.

Alors qu’applications et dossiers spéciaux envahissaient les sites médias comme une armée de clones, nous avons scruté les flux à la recherche des perles proposant une vraie mise en scène novatrice de l’info. Et quelques unes sont apparues, cachées dans la forêt.

L’occasion d’innover

Une des applications les plus inventives est celle réalisée par USA Today intitulée “9/11 + ME“. Utilisant le graphe social de Facebook pour personnaliser le contenu proposé aux utilisateurs, elle présage de nombreuses futures utilisations. En effet, elle se compose en deux parties : la partie “key events” qui recense les différents “évènements clés” survenus depuis le 11 septembre 2001, répartis en différentes catégories (terrorisme, patriotisme, politique, sport, arts…) et la partie “+ ME”. Cette partie, qui nécessite une connexion via son compte Facebook, fait évoluer son contenu (victimes, lieux mémoriels, dépenses de sécurité,…) en fonction de l’âge et de l’origine géographique de l’utilisateur.

Autre application étonnante, celle du New York Times qui recense les enregistrements audios réalisés par l’administration aérienne fédérale (F.A.A.), le commandement de l’espace de défense aérospatial nord américain et par la compagnie American Airlines au matin du 11 septembre 2001, de 8h13 à 10h32. Les enregistrements, positionnés sur une frise chronologique et accompagnés de leur transcription, permettent de revivre différemment, de l’intérieur et en audio, les attentats.

Dans cette même idée de bande-son, MercuryNews a publié la transcription de la boîte vocale d’un passager du vol 93 puis réalisé une infographie sur la base de ces transcriptions.

Infographie réalisée à partir de la transcription (MercuryNews)

Le New York Times a également évalué le coût du 11 septembre : impact économique, coûts pour la sécurité intérieure, dépenses de guerre et y compris frais engendrés par les futurs vétérans ; par le biais d’une infographie simple et fonctionnelle.

Time Magazine, fidèle à son travail graphique de haute volée a de son côté produit l’application “Portraits of Resilience“. 40 portraits de femmes et d’hommes  – familles de victimes, pompiers, artistes, militaires (dont le Général Petraeus) et politiques (dont Georges W Bush) – présentés dans une mise en scène simple, classieuse et très efficace en HTML5.

La BBC proposait quant à elle une intéressante balade interactive dans Ground Zero.

Le plus grand micro-trottoir “ever”

Reste que, derrière ces belles réalisations, le gros des troupes éditoriales a creusé un seul et même sillon : celui de l’uniformité. La prolifération de dispositifs d’appels à témoignages, où les internautes pouvaient raconter leur 11 septembre, partager leurs souvenirs, expliquer où ils se trouvaient et ce qu’ils faisaient est affligeante de banalité.

Que ce type de dispositif soit le premier à venir en tête dans une large majorité des rédactions, n’est pas surprenant. En 10 ans, au souvenir des attentats du World Trade Center, s’est attaché le postulat que “tout le monde se rappelle ce qu’il faisait ce jour-là”. À tel point que “rater le 11 septembre” est devenu suffisamment exceptionnel pour que Slate y consacre un article.

Mais qu’un si grand nombre de médias n’aille pas chercher plus loin que cette première idée toute simple l’est davantage : nous avons dénombré pas loin d’une trentaine d’applications sur le modèle du “Racontez-nous / Racontez-vous”, et la liste est loin d’être exhaustive.

Les quotidiens nationaux (Libération, Le Monde, L’Humanité, Le Figaro) aussi bien que les grands groupes de médias (TV5 Monde, France 24, Arte, Radio France, Canal+, les Echos) ou les quotidiens de presse régionale (Midi Libre, Maine Libre, la Nouvelle République, Sud Ouest, Ouest France,…) et même Psychologies magazine s’y sont mis, avec plus ou moins de créativité et d’interactivité.

Voici quelques exemples :

Web série d'Arte

Appel à témoignages du Figaro

Application Facebook de France24


Site Internet du Télégramme

Même tendance hors de l’hexagone : le New York Times, en partenariat avec Youtube ; le Guardian, El Mundo, ou encore National Geographic ont voulu connaître les souvenirs de leur audience.

Application de C New York

Web application d'El Mundo

Application Facebook de National Geographic

Application NY Times et YouTube

Nos souvenirs étaient drôlement courtisés, en ce 11 septembre 2011.

L’innovation suprême aurait peut-être été de créer un seul lieu pour recueillir tous ces souvenirs multilingues, hors des chapelles médiatiques. La vraie question qui pointe derrière est : que nous raconte cette étrange évidence qui a poussé tant de médias à ouvrir un espace pour que chacun raconte “son 11 septembre” ? Comme une catharsis virtuelle, un besoin de restituer et d’être entendu. Comme si chaque témoignage cherchait à affirmer “c’est aussi inscrit dans mon histoire personnelle, dans mes peurs, mes espoirs, dans ce que je suis devenu”.

À ce titre, la carte “Where were you on Sept 11, 2001 ?” réalisée par le New York Times est édifiante, notamment comparée au listing des titres de la presse américaine des 11 et 12 septembre 2001 réuni par Christian Annyas. Alors que, quelques heures après les attentats, “Terror”, “War” ou “Evil” faisaient les gros titres, les contributeurs du NYT, 10 ans plus tard, nous racontent autre chose. L’application permet aux internautes d’associer leur ressenti actuel à leur témoignages : colère, peur, aucun changement (ndlr : depuis 09/11), sécurisé, espoir. Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer a priori, les points bleus de “hope” (espoir) sont plus nombreux sur la carte que les rouges de “angry” (colère). Même si les points oranges “fearful” (crainte) sont bien présents, c’est une visualisation étonnamment positive qui ressort de cet exercice.

Maintenant que cette masse de témoignages est là, peut-être faudrait-il la traiter pour voir quelle(s) histoire(s) elle raconte. C’est là qu’est l’intérêt de toute initiative de crowdsourcing, non ?

Sur le 11 septembre, retrouvez également l’application interactive d’OWNI sur la multiplication des lois dites antiterroristes.

]]>
http://owni.fr/2011/09/13/11-sept-chaud-les-marronniers/feed/ 8
Les sites d’info et Facebook: it’s complicated http://owni.fr/2011/07/13/les-sites-infos-facebook-its-complicated/ http://owni.fr/2011/07/13/les-sites-infos-facebook-its-complicated/#comments Wed, 13 Jul 2011 06:34:47 +0000 Marc Mentré http://owni.fr/?p=73538 Le 28 juin, Facebook tenait son premier MeetUp pour les journalistes à Paris. Media Trend était présent grâce à Sophie Lemoine. Disons d’emblée, qu’en écoutant son compte-rendu et en lisant ses notes, j’ai été déçu. Rien de particulièrement nouveau n’a été annoncé lors de cette réunion qui ne soit déjà connu, comme la création de « pages professionnelles » pour les journalistes, le fait de pouvoir lier les commentaires publiés sur le site avec ceux qui le sont sur la page Facebook, l’implémentation des boutons « Like » ou « Recommend » en lieu et place du bouton « Share » , etc.

Je vais revenir en détails sur ces points, mais surtout, il nous est apparu, à Sophie et à moi, qu’il s’agissait d’une classique « évangélisation » de la part d’une entreprise qui cherche à devenir un des points de passage obligé pour accéder au contenu des sites d’information.

Mais avant d’aller plus loin, deux repères:

  • L’ensemble des internautes n’est pas inscrit sur Facebook, loin s’en faut. En France, seule la moitié d’entre eux a ouvert un compte Facebook. Il faut ajouter un second bémol: sur la vingtaine de millions de comptes en France, on ignore combien sont réellement actifs. Donc aujourd’hui, Facebook est sans nul doute un outil puissant de publication et de diffusion des contenus, mais une « page » ne saurait se substituer à un site, pour cette seule raison.
  • Travailler sur Facebook, que l’on soit un individu ou une entreprise, implique l’acceptation du « règlement Facebook » [lire la Facebook Platform Policy]. Celui-ci n’est pas toujours « raccord » avec les impératifs de l’information, comme l’illustre le point 5 de ce règlement qui interdit tout « contenu haineux, menaçant, diffamatoire ou pornographique; qui incite à la violence; ou contient de la nudité ou des scènes de violence » [encadré bleu, dans la capture d'écran ci-dessous].

Plus inquiétant pour un éditeur, l’instabilité dans laquelle le plonge Facebook. Il est prévu au chapitre V de ce règlement:

Nous pouvons prendre des mesures coercitives contre vous et tout ou partie de vos applications, si nous jugeons, selon notre seul jugement que vous ou votre application viole les termes et la politique de la plateforme Facebook. Les mesures d’exécution sont à la fois automatiques et manuelles, et peuvent inclure la désactivation de votre application, en limitant votre accès ou celui de votre application aux fonctionnalités de la plateforme [Facebook], la fin de nos accords avec vous, ou toute autre action que nous jugeront appropriés et ce à notre seule discrétion [souligné par moi].

Et pour que l’incertitude soit totale, le règlement ajoute au chapitre suivant :

Nous pouvons changer la politique de la plateforme à tout moment sans préavis [souligné par moi] lorsque nous le jugerons nécessaire. Votre utilisation continue de la plateforme constitue une acceptation de ces changements.

Bref publier sur Facebook signifie se trouver dans un environnement particulier, relativement instable [lire par exemple cet article du site espagnol Techno Magazine, qui explique que des milliers d'applications ont été désactivées par Facebook, sans préavis], et restrictif par rapport au cadre législatif et réglementaire habituel. ((Lire à ce sujet, la mésaventure survenue au critique britannique Roger Ebert, qui a vu sa page disparaître, racontée sur Gigaom))

Qualité de conversation

Mais au-delà de ces prudences qu’apporte Facebook et comment faut-il l’utiliser ? L’apport de Facebook pour un média se concrétise de plusieurs manières qui vont de la création d’une — ou de plusieurs — page(s), à différentes manières de lier le contenu et les commentaires du site avec Facebook.

Un éditeur a passé le pas et a décidé « à titre expérimental » de basculer entièrement sur Facebook en mars 2011. L’une des principales raisons avancée par Cindy Cotte Griffiths et Brad Rourke, les responsables de Rockville Central, tient au fait que Facebook serait plus « civilisé » que le web de par son caractère « fermé » [par opposition au web "ouvert"]. Le réseau social offrirait donc une meilleure qualité de conversation, notamment parce que les inscrits sur le site le sont sous leur identité propre. Cela limiterait fortement les risques de dérives dans les commentaires.

En revanche, ce choix implique un sacrifice financier, puisqu’un éditeur ne peut pas placer de publicité sur sa page Facebook, comme l’indique les « conditions applicables aux pages » : « Les publicités pour des tiers sont interdites sur les Pages ». Les deux responsables de Rockville Central envisagent donc un financement par des produits dérivés comme, par exemple, la création d’événements locaux [Pour plus de détails sur cette expérimentation lire ici et ].

Le Boston Globe pour sa part a opté pour une autre solution, à savoir la création d’une application Facebook, baptisé Your Boston. Pour cela, le groupe s’est appuyé sur une solution en open source développée par un petite startup, NewsCloud, dans le cadre d’un programme financé à hauteur de 250.000 $ par la Knight Foundation et qui est destiné à soutenir le lancement de sites communautaires interactifs par douze groupes de presse.

Générer de la publicité avec une application

Si l’on voulait une démonstration du caractère expérimental de cette application, on ne saurait mieux l’illustrer par le jeu de piste qu’il faut suivre pour tomber sur Your Boston. Sur la home du site du Boston Globe, on ne trouve que le social plugin Facebook; il renvoie sur la page Facebook, Boston Globe; il faut alors cliquer sur Boston.com, dans la colonne de gauche [les "intérêts" des pages Fan] et c’est sur cette page que l’on trouve Your Boston [ci-dessous]. Il faut ensuite entrer dans l’application. Un chemin compliqué, qui désole Jeff Reifman de NewsCloud:

Une application communautaire Facebook est sans intérêt, si personne ne connaît son existence et son utilité.

L’intéressant avec une application est de pouvoir générer de la publicité, et donc ouvre la possibilité de monétiser son investissement, ce qui n’est pas possible lorsque l’on crée une page « fan » classique.  Toutefois, il faut ajouter qu’installer de la publicité dans une application sur Facebook se fait dans conditions restrictives [lire "Les règles publicitaires sur Facebook"] et qu’il est impératif de passer par l’une des entreprises agréées par la plateforme [lire la liste des entreprises agréées].

À l’usage, pour un développeur d’applications, Facebook s’avère relativement malaisé, en raison de son « instabilité » [Jeff Reifman dit : "the ever-changing Facebook application platform"]. Par exemple, explique-t-il, Facebook a désactivé unilatéralement le système de notifications qui avait été mis en place pour l’application. Il signalait aux internautes que quelqu’un avait commenté ou « aimé » leur statut/article ou leur commentaire. Conséquence, Newscloud a dû construire son propre système d’alerte, mais celui-ci ne fonctionne que si l’internaute « se rend régulièrement sur l’application ou choisit de recevoir les notifications par email ».

Autre problème soulevé par Jeff Reifman: un certain nombre d’internautes qui ne sont pas sur Facebook, parce qu’ils ne souhaitent pas partager leurs données personnelles, hésitent à s’enregistrer sur une application… qui est sur Facebook.

Mais, les difficultés viennent aussi des éditeurs. En effet, créer une application interactive implique une approche nouvelle de leur part, comme l’analyse Jeff Reifman: les éditeurs de sites ont tendance à dupliquer leur site, afin que leur site (ou application) communautaire ressemble le plus possible au site d’origine. C’est une erreur, dit-il, car « un site communautaire est différent d’un site d’information : il devrait afficher et mettre en valeur le meilleur du contenu généré par les internautes. D’autre part, si le site communautaire est une ‘copie carbone’ du site d’information, les lecteurs ne comprendront pas l’intérêt du site communautaire et comment ils peuvent participer. »

Créativité et commentaire

Pourtant en dépit de ces défauts, Facebook reste une plateforme très intéressante et pratiquement tous les sites ont créé leur page sur le réseau social. Ce dernier a d’ailleurs publié un classement international [le détail de ce classement ici] dans lequel on trouve en quatrième position Le Monde [189.600 fans] avec, note Facebook, « des sections quiz intéressantes sur différents sujets actuels comme celui sur l’information Actu Quiz, qui offre aux likers l’occasion de gagner des prix », et en cinquième position L’Équipe [205.000 fans], « qui offre une page enrichie avec des quiz, des jeux et des pages thématiques additionnelles comme: Sport & Style, la radio RTL de L’Équipe, L’Équipe Mag, qui permettent d’attirer les likers. »

La création de pages par les sites sur Facebook offre un grand nombre d’avantages, en particulier:

  • l’élargissement de la « cible » du média concerné, les membres de Facebook étant en moyenne plus jeunes et plus féminins que les internautes « classiques »,
  • une grande « viralité » [diffusion virale] aux contenus mis sur la page grâce aux outils de partage,
  • une « interactivité naturelle, car il est possible facilement à tout un chacun de commenter, de « liker » les articles et commentaires, etc.

Ces pages offrent aussi une formidable opportunité aux services marketing des médias, car elles leur permettent d’étudier sur une base autrement plus fine et « vraie » que celle du site, les utilisateurs Facebook ((lire par exemple cet article de Mashable sur l’utilisation des données personnelles par les services de marketing)).

Mais… la création d’une page ne saurait être la simple réplique du site, ne serait-ce que parce qu’une page Facebook [un défaut que n'a pas l'application Your Boston décrite plus haut] se présente comme un blog, avec toutes les caractéristiques de ce type de publication, en particulier un empilement des articles, le dernier publié étant en tête. C’est un flux, sans hiérarchie. Surtout, il n’est pas possible de publier autant d’articles sur la page que sur le site sous peine d’être contreproductif, car alors on sature le mur des personnes qui « aiment » la page ((Je ne développe pas; on peut trouver des principes de publications pour une page par exemple ici)).

Pour ces raisons, Julien Osofsky, directeur de la division médias et Julien Codorniou, directeur des partenariats, ont expliqué le 28 juin, que le but des publications sur une page Facebook n’était pas de délivrer de l’information, mais d’abord de créer de l’interactivité et de générer du commentaire.

Alors que les publics sont différents, que leurs comportements sont dissemblables, que les contenus ne se recouvrent pas strictement, lors du MeetUp du 28 juin, les responsables de Facebook, ont insisté sur la possibilité qui était offerte de « synchroniser la conversation [c'est-à-dire les commentaires] sur le site et la page ». En France Le Journal du Net a implémenté cette solution, mais problème, il semble qu’elle ne fonctionne pas très bien. Les commentaires du site restant sur le site et n’apparaissant pas sur la page, et inversement, comme le montre les deux captures d’écran ci-dessous prises pour un même article, Bientôt une enquête antitrust contre Google aux États-Unis ? Précision: “j’aime” le Journal du Net.


Dernier point, Facebook permet de générer du trafic sur un site, et cela peut-être considérable, comme le montre l’infographie ci-dessous reprenant les principaux sites de presse français. Elle montre le pourcentage de trafic via Facebook entrant sur les sites [ce graphique a été réalisée avec les données collectées par Alexa].

Cette possibilité de générer du trafic sur Facebook fut une des principales questions abordées lors du MeetUp du 28 juin, et c’est l’objet des social plugins que propose le réseau social. Ce dernier offre toute une palette de boutons et de box. Jusque il y a peu, le bouton « Share« , était le plus implémenté sur les sites. Son développement est aujourd’hui abandonné et les responables de Facebook considèrent aujourd’hui que les sites doivent passer à une autre étape et privilégier les boutons « Like » ou « Recommend ».

Ce changement de dénomination suppose, un engagement plus fort de l’internaute vis-à-vis du contenu qu’il partage avec ses amis. Le fait de cliquer sur ces boutons permet aussi de créer un lien vers le site et d’améliorer la visibilité du contenu « liké » dans les moteurs de recherche..


Billet intialement publié sur Mediatrend sous le titre “Facebook un environnement instable pour les sites
Crédits Photo FlickR CC by-nc kerryj.com

]]>
http://owni.fr/2011/07/13/les-sites-infos-facebook-its-complicated/feed/ 2